domingo, 15 de março de 2009

L'écrivain

C'était comme si, d'un coup, rien n'avait plus d'importance que cette simple idée qui trottai dans sa tête. Et pour Hichem, simple écrivain algérien, c'était une découverte extraordinaire, même cela dépassait de loin tout ce qu'il avait bien pu imaginer jusqu'a maintenant. C'était LA nouvelle, celle avec la quelle il aura une chance de faire succès, après tant d'années d'effort. Les larmes lui en coulaient de bonheur et comme s'il avait peur d'oublier, se mis immédiatement au travail.Ce ne fut que 15 années plus tard, après avoir écrit et réécrit LA nouvelle, qui désormais s'étalait sur plus de deux cent pages, qu'il se présenta devant un premier éditeur. Celui-ci avait une allure d'homme sérieux a demi plaisantin et un gros ventre qui lui empéchait de se déplacer correctement. Il accueilla Hichem gentillement et après avoir lu le résumé du livre, parcouru rapidement les feuilles ou l'écrivain avait tout imprimé, qu'il le regarda et se décida enfin a prendre la parole.- Vous êtes un écrivain qui a compris beaucoup de choses qui échappent à certains. Vous avez une bonne imagination, ce n'est que rare de trouver des gens comme vous. Seulement...c'est bien, mais, justement, c'est beaucoup trop bien. Trop realiste, trop choquant. Avouer, même indirectement ce que vous insinuez dans ce livre serait un grand choc pour la population. Je suis désolé, je ne peux accepter de puplier ce livre. - Comment ? Vous avez peur de la réaction de la population ! Mais elle a le droit de savoir la vérité! Pourquoi pas...pourquoi ne pas les laisser...- Vous ne comprendrez pas. La population ne veux pas savoir la vérité, elle ne veut seulement que transformer celle-ci comme elle leur plaira le mieux. L'argent, le sexe, les amis, la fête...Ils ne veulent même pas prendre conscience de la misère, alors comment vont-ils réagir envers votre livre ? Vous n'êtes pas un écrivain de notre temps, c'est trop tôt. Renaissez plus tard.Et comme si, cette dernière phrase était sensée être drôle, l'éditeur pouffa et pris une grande gorgée de wisky.- Vous voyez., moi je l'ai compris aussi, votre vérité. Regardez moi, je n'aurai pas du découvrir, elle m'a détruit. Vous ne pouvez rendre la population comme moi. Laissez tomber, profitez des femmes, de l'alcool et puis oubliez. Votre livre, même publié, sera éternellement banni, les hommes ne veulent pas savoir.- Mais ils doivent ! C'est la vérité ! On ne peut la cacher !- Vous savez tout le monde le sait, au fond. Pourtant tout le monde le nie, pour ne pas souffrir. Laissez les, complétez votre devoir, faites comme les autres, oubliez. Laissez...Et sur ces mots, l'éditeur se leva et le pria de sortir. Hichem obtempéra, s'en alla, laissant cet homme deséspéré derrière lui. Pourtant, il décida de ne pas laisser tomber si rapidement. Il pria encore plusieurs éditeurs différent. Aucun n'avait beaucoup d'intérêt pour la science-fiction, alors il ne pu publier son oeuvre avant de tomber sur un homme à l'allure légèrement éféminée qui, pour parier avec un ami, accepta en rigolant, de ''rendre publique ce livre dément''.Deux ans plus tard, son livre était enfin dans les bibliothèques d'Algérie. Cependant, il ne se vendait pas bien, restant caché sous les piles de livres autobiographiques et toujours pareils, parlant d'histoires d'amour et d'adolescence. Hichem, lui, mourut tôt, de tristesse ou plutôt de lassement.Ce n'est que 50 ans passés, qu'une jeune fille déterminée découvrit ce livre. Elle en compris le sens et décida de le rendre connu. Et c'est, de cette façon, que Hichem, écrivain au talent nié, avant réussi à réaliser son rêve. Par sa mort.

Sam

quinta-feira, 5 de março de 2009

Les Réactionnaires

Quand on a une idée, qu'elle soit révolutionnaire ou d'une importance minime, il y a toujours plusieurs groupes de personnes qui nous empêchent d'avancer rapidement : Ceux qui voudraient faire comme nous, ceux qui sont contre parce qu'il ne voient pas l'interêt de changer, ceux qui sont contre parce qu'ils nous détestent ou veulent que le lendemain soit le même qu'hier et la foule de neutres, la plupart du temps les plus nombreux, qui ne font rien et se mettent du côté de ceux qui sont plus fort, que ce soit en nombre ou en pouvoir.
Les plus énervants sont sans doutes ceux qui voudraient que le lendemain soit le même qu'hier : Les Réactionnaires. Ils ne supportent pas le changement et se rangent toujours du côté le plus dur a décontenacer. Parce qu'ils sont naifs. Ils ne veulent pas comprendre que le changement est indispensable. Ils ne veulent rien entendre, ils savent déjà quoi répondre à nos proposition : NON !
Non... Non quoi ? Au changement ? À l'évolution ? De même que eux ne comprendrons jamais le sens du '' demain sera un autre qu'hier '', moi je ne les comprendrais jamais. Évoluer, c'est avancer, trouver d'autres moyens, changer d'avis, ouvrir son esprit et inventer. C'est d'ailleurs sûrment à cose de ces quelques groupes de personnes que l'évolution est passé à la révolution.




Sam

sexta-feira, 20 de fevereiro de 2009

Les illusions d'une Dame

Elle fit trois pas en avant, tourna sur elle-même, dévia et, comme touche finale leva sa jambe droite et ses mains gracieuses puis s'immobilisa. Le public était déchaîné, une simple danseuse coréenne avait réussi a atteindre un stade de popularité des plus rares, fascinant toute l'Europe, l'Amerique et une partie de l'Asie.

( en construction =)

sexta-feira, 13 de fevereiro de 2009

Dieu ou pas...Quelle différence ?

- Comment pouvez-vous dires ça ? Comment pouvez-vous prétendre que Dieu ne nous aides pas, même pire qu'il nous détèste ! Après tout ce qu'il a fait pour nous! Quelle honte! Mais avez-vous seulement conscience de ce que vous venez de dire ?



Ils ne comprennent pas.



- Quelle insulte! Ne prononcez plus jamais son nom, au Grand Seigneur! Ne vous avisez même plus à rentrer dans un église! Petit voyou!



Ils ne comprennent pas car ils ne veulent pas comprendre. Ils ne prêtent même pas attention à ce que je leur dis, dès que j'en parle mal, on ne me laisse plus finir. Ils m'énervent. De toute façon, si Dieu existe, il ne préfèrerait pas les prêtres et les religieux fanatiques. Il admirerait sûrement les hommes qui réagissent, tel le Che, Martin Luther King,...
Ils vénèrent Dieu sans même le connaître. Si Dieu existe, ils nous a abandonnés depuis longtemps, où bien il nous aide sans même qu'on ne s'aperçoive. Ils parlent du Paradis et de l'Enfer pour contraindre les gens à être gentils et non belliqueux. Mais aujourd'hui, trop de personnes ont oubliés ce principe, et se contentent de se confesser après leurs méfaits. Mais une bonne confession justifie-t'elle un viol, une agression voir un meurtre ? Peut-être la confession à-t'elle donné la bonne conscience à certaines personnes, mais et les victimes ?
Même si Dieu existe, même s'il pardonne les personnes qui ont pêchés cela ne change pas grand chose, sinon le simple fait que ceux-ci n'iront peut-être pas en Enfer. Quel bandes d'égoïstes! Je m'imaginerais bien ces salops à leur dernier jugement, jugés par...leurs victimes.
Même si Dieu existe, je ne pense pas que le monde soit aussi beau que la Bible nous le fait croire. Appart l'éventuelle existence d'un Dieu, la Bible à embellit trop de choses voir inventée la moitié de ce qu'elle raconte. Les miracles de Jésus...la guérison soudaine d'un homme paralysé qui rencontre Jésus. Je n'y croit peut-être pas, mais leur foi est plus grande que l'avis d'un...''petit voyou''. Je sais que je ne réussirais qu'a mettre le monde contre moi, mais je m'obstine. Je suis peut-être trop provoquant. Si quelqu'un dans ce monde entendait mes pensées, je serais brûlé vif. Surtout ci celui-ci est religieux. Mais pour l'instant, comme je ne suis pas fou et ne crois pas aux miracles, je me contenterais d'être moins provoquant quand je m'adresse aux prêtres et autres religieux.

- Monsieur le prêtre ?

- Ah, enfin vous me répondez! Vous m'avez offusqué vous en avez conscience ? Si je serais vous je me confesserais. Bien sûr, si vous faites ça je vous pardonnerais, ainsi que le Grand Seigneur.

- Avant cela, puis-je vous poser une question ?

- Allez-y seulement. Je suis à votre écoute.

- Vénérez-vous Dieu à un tel point que vous avez décidé de vous priver de toute relation amoureuse ou, rassurez moi, ce n'est dû qu'au simple faite que vous n'ayez encore plû à aucune femme ?



Sam

domingo, 8 de fevereiro de 2009

Le début d'un Monde

J'ai d'abord imaginé une sphère ronde et bleue emplie d'eau. J'y ai ajouté des arbres, des fleurs et de la terre. j'ai ensuite créé des animaux, des mammifères, des oiseaux, des reptiles, des poissons et des insectes. J'était contente de mon oeuvre et je la comtemplais souvent en améliorant quelques petits détails. Tout se passait bien dans ce monde, tout ce passait beaucoup trop bien. Jusque au jour où je m'en suis carrément lassée. Je décidai alors de créer un être différent, arrogant, émotionnel et créatif : L'homme. Je pris de la chair, du sang, des os et commença à le former. Je savais à quoi il devait ressembler et à quoi sa conscience et son intelligence se limiterai. Une fois l'oeuvre terminée je le recouvrai d'une peau légèrement brune et souple. Enfin, j'avais fini. L'homme ouvrit ses yeux, s'étonna, fit une légère grimace pour montrer son incompréhension. Il se découvrit et bougea ses membres. Il était terrorisé. Mais je lui avais donné le courage et la curiosité. Alors rennonçant à la peur il se leva et fit quelques pas. Il observait tout, aucun détail ne lui échappait. Mais il y avait quelque chose qui clochait. Il avait l'air de chercher quelque chose. C'est alors que je compris. Et je recommençai une autre oeuvre, mais une fois terminé, mon homme ne ressemblait pas vraiment au premier. Il était plus petit, plus doux, plus fragile. Il n'avait pas le même sexe, pas le même torse. Mais je le mis quand même dans mon monde. La rencontre des deux hommes fut étonnante. Ils se reconnurent d'abord à leur peau, à leur corps. Il se touchèrent et examinèrent la partie de l'autre qui les différenciaient. Et puis d'un coup, il s'emboîtèrent se caressèrent et lâchaient de petits cris. Ce n'est que 9 mois plus tard dans leur monde qu'un autre petit être nu sorti du ventre de mon deuxième homme que je nommai femme. L'enfant ressemblait beaucoup à la femme. Ainsi à chaque accouplement un être naissait quelques mois plus tard. J'avais créé l'homme, mais une chose que j'ignorait c'est que ces êtres, quelques siècles plus tard allaient commencer à me vénérer, et, quelques millions de siècles plus tard à me chercher. Je redoutais qu'ils ne découvrent la vérité, mais, quelques milliards d'années passées, ils s'entretuèrent beaucoup plus, de plus en plus, et, c'est ainsi que, avant que je ne les emportent avec moi dans ma mort, ils disparurent de mon monde. Mon être différent, arrogant, émotionnel et créatif s'était autodétruit. Je compris donc que ceci étaient notre avenir, à nous, les hommes réels qui vivent peut-être aussi dans l'imagination d'un autre homme, d'une autre dimension.


Sam

sábado, 7 de fevereiro de 2009

La fuite

Avant de partir je m'assieds sur un rocher pour saluer le ciel et cette belle nuit fraîche d'Alsace. Je pense à tout ces moments où je n'ais pas profité de ma vie et où je n'ai rien fait qu'attendre sur ce rocher. Je dois partir, sinon l'ennui me rongera. Je préfère la fuite plutôt que d'affronter cet éternel ennui. Elle ne viendra jamais. J'ais beau l'attendre, elle ne viendra pas. J'ais souffert pendant si longtemps en attendant qu'elle vienne m'aider. Je n'avais pas compris. J'ais été naif de penser qu'elle viendrait par elle même. Ce n'est d'ailleurs que ce matin même que j'ais pris la décision de partir. J'ais enfin compris qu'elle ne viendrais pas, alors j'ais décider d'aller à sa recherche. Je prends mes quelques provision pour les semaines à venir et je quittes cet endroit avec espoir. Peut-être qu'un jour elle viendra à moi et enfin je comprendrai pourquoi. Pourquoi elle n'est jamais venue m'éclairer de sa conaissance, car moi, je lui offrirait le pouvoir de s'exprimer malgrès son mutisme. Je partagerai son savoir avec d'autres. Mais d'abord, il faut que je trouve la trouve, elle, LA REVELATION que j'attend depuis l'éternité.

Sam

terça-feira, 27 de janeiro de 2009

Clair de Lune

Debussy...cette homme devait avoir l'eprit pur, une âme divine. Il a su écrire une chanson merveilleuse: Clair de Lune. C'est un de ces hommes pour lequels je me battrais pour être à leurs côtés. Je voudrais savoir qu'est-ce qui les inspire. Quelle difference y a t'il dans leur comportement? Ce sont pour moi des hommes mi-dieux qui ont instaurés dans la terre un petit bout de paradis. Que serait-elle sans eux ? La terre je ne sais pas, mais moi rien...Leur coeur doit être un organe remplit d'amour et d'inspiration, de pûreté. Je ferais tout pour composer comme eux. Mais le talent ne s'invente pas, il se travaille. Je n'ai même plus de mots quand j'entends clair de lune de Debussy ou la valse op.64 No.2 de Chopin. C'est quelque chose qui ne s'exprime pas mais qui se partage. J'ai l'incapacité a vous exprimer quoi que ce soit alors je vous conseille d'écouter ces deux chansons.


Sam